La torpeur de l’été

La course folle de l’année en cours vient de se suspendre, le temps d’une petite pause à l’ombre d’un pommier où les excès de bon vin viennent se perdre dans une sieste méritée, à peine dérangée par les petits insectes, eux aussi abattus par le soleil qui cogne. Entre deux petites promenades à vélo avec les minots et une tête piquée au fond d’une piscine, l’été sera peu prolixe. Seule la lecture, re-lecture de mes classiques barjaveliens viendront troubler ma léthargie estivale. Là aussi, pourvu que tous ces doux moments perdus sauront se rappeler à mon bon souvenir une fois que la course automnale aura repris ses droits.

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