Une campagne française qui se sépare des derniers filets de brume, une douce chaleur féminine sur mon épaule, quelques notes diaphanes dans mes oreilles, mais surtout l’attente indicible d’un bonheur éphémère. Celui des retrouvailles avec nos petits protégés…
Des instants rares où le poids de l’actualité disparait, où la pesanteur professionelle s’estompe. Un instant suspendu que l’on aimerait éternel.
Un matin dans le train
- Posté le : 31 août 2013
- Catégorie : Sur la route
- Par : Le perdu
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