Une route qui se perd dans la nuit
Muses
Une vie dans ma bibliothèque
L’intelligence naturelle
Echec et Mat ?
La disparition
L’océan
Pleurer longtemps solitaire mène à quelque chose.
On ne se bat bien que pour les causes qu’on modèle soi-même et avec lesquelles on se brûle en s’identifiant.
Viendra le temps où les nations sur la marelle de l’univers seront aussi étroitement dépendantes les unes des autres que les organes d’un même corps, solidaires en son économie.
Le cerveau, plein à craquer de machines, pourra-t-il encore garantir l’existence du mince ruisselet de rêve et d’évasion ? L’homme, d’un pas de somnambule, marche vers les mines meurtrières, conduit par le chant des inventeurs…